Reformulation par Laurent
{Les contenus ne détournent pas de caractères pour simuler des effets visuels}
et refus de l'autre proposition similaire de Hamza (pour doublon)
Me semble toujours trop vaste et difficilement vérifiable, ou trop contestable quand un effet visuel n'a pas d'incidence majeure sur l'accès au contenu (il y a énormément de possibilités !).
Je propose d'en rester à une formulation moins ambitieuse, certes, mais plus solide : {Les contenus ne détournent pas de caractères pour simuler du gras ou de l'italique}
À prendre comme un point de re-départ pour rester très ciblé.
Si on parle bien ici de faux gras, faux italique, etc., il faudrait également inclure les émojis (ou en faire une règle à part).
Exemple : je ne suis pas un contenu 💯% accessible.
Est-ce qu'on n'est pas avec les émojis dans un cas similaire aux alternatives textuelles d'images ?
Nous avons déjà l'idée de fusionner la règle 184 {Les pictogrammes typographiques sont dotés d'une alternative appropriée} avec celles sur les alternatives, via la rédaction du moyen de contrôle.
Peut-être pourrait-on faire d'une pierre deux coups ?
Le cas des émojis est particulier : on ne peut pas leur donner d’alternative puisqu’ils en ont une intrinsèque —, qui est rarement connue par les utilisateurs qui s’en servent.
Et on ne peut pas non plus les considérer comme décoratifs, puisque leur valeur textuelle est systématiquement utilisée — ce qui est pénalisant dans les contenus qui ne permettent pas de saisir du HTML pour les ignorer à l’aide d’ARIA (au hasard les publications sur LinkedIn, Mastodon et consorts).
Mais je suis d’accord sur le fait qu’un usage des émojis est hors propos, par contre certains usages (pour simuler une liste par exemple, qui n’est pas un effet visuel) semble mettre en péril la formulation actuelle.
La restriction au faux gars et faux italique est la cible prioritaire à mon avis, car cet usage dénature totalement le contenu ; là ou l’utilisation d’émoji ajoute essentiellement du bruit.
Si je comprends bien, on peut rester sur la formulation actuelle, quitte à préciser le champs d'application dans la mise en œuvre?